4 métavaleurs pour être à la hauteur

La boussole Beau Bon Juste Utile©

LA BOUSSOLE BEAU BON JUSTE UTILE© Stratégies régénératives 4 juin 2024 Au-delà de l’impact, qu’allez-vous faire de Merveilleux pour demain ? Vous n’avez pas pu assisté à notre dernier Wondershot, 30 minutes pour réinventer le jeu des possibles (stratégiques) ?Voici le récapitulatif  de notre dernier événement en ligne pour présenter la boussole éthique et stratégique Wonderloop© : une invitation à élever nos stratégies d’impact pour être à la hauteur des Grands Défis.  Pendant ce Wondershot, nous avons pris l’exemple fictif d’un organisme leader de la formation en France pour mieux appréhender les étapes et engagements radicalement positifs que la Boussole permet d’imaginer et de définir en feuille de route. Les messages-clés :  Quel est le lien entre le Projet européen « Bauhaus Vert », le dernier rapport de l’Agence Européeenne de l’Environnement et l’appel récent de Théodore Tallent à un discours plus rassembleur autour de la transition ? L’éthique, des méta-valeurs qui guident nos décisions et nos expériences du monde pour faire les « bons choix au bon moment ». Que d’aucuns souhaite une transition plus désirable, juste, inclusive, équitable… l’éthique devient le « garde-fou » et levier de l’impact : elle s’impose au cœur de toutes les stratégies et de tous les projets. Pour le dire autrement l’impact n’est qu’un produit de l’éthique. En effet, l’éthique interroge sur les cadres que nous utilisons pour prendre des décisions : Qu’est-ce qu’une bonne ou mauvaise décision ? Comment savons-nous ce qui est bien ou mal ? Quand le monde semble nous échapper par sa complexité et ses défis : réchauffement climatique, évolution vertigineuse de l’intelligence artificielle, inégalités accrues… il appelle toujours plus d’éthique. Le problème, c’est que nous prenons souvent conscience de l’éthique au travers d’expériences négatives, quand nous nous trouvons face à l’injustice, face aux principes bafoués (voir l’exemple simple de la « France Moche » dans la vidéo-résumé ci-dessous).  » Comment anticiper et intégrer l’éthique dans les réflexions stratégiques sans en faire une nouvelle case à cocher ? Dans ce monde polarisé et désorienté, la tentation est grande pour chacun d’entre nous d’une vie repliée sur elle-même et rétrécie aux strictes injonctions ou aux « ticks » d’une directive à remplir. Wonderloop© propose de passer de l’autre côté du miroir pour renverser cette approche et élargir notre champ de vision stratégique avec une éthique qui nous plonge à la fois dans notre réalité (individuelle, collective, économique, écologique et sociale)  et qui soit force d’inspiration pour nous élever au-delà de l’impact. « La crise climatique est une crise de l’imagination » dit Rob Hopkins, certes, pas tant dans les solutions que dans la remise en question de nos méthodes pour réinventer demain. Les « Et si ?» ne suffisent pas si nous voulons redéfinir les trois leviers stratégiques-clés d’une organisation, d’in projet, d’une équipe : sa singularité (qui je suis et quel est mon pouvoir d’influence positive) sa résonance (ou force de connexion et non de persuasion) sa pertinence (ou force d’action et réponse aux grands défis) Wonderloop© vous invite à être joyeusement à la hauteur des Grands Défis avec sa boussole éthique et stratégique qui aide à s’orienter, sans être un guide qui norme.A partir des 4 métavaleurs Beau Bon Juste et Utile©, à vous de réinventer votre activité demain ! Il vous faudra néanmoins changer de question initiale plutôt que de vous demander « Comment  avoir plus d’impact positif demain ? » Demandez-vous « Qu’allez-vous faire de Merveilleux pour demain ? » https://www.wonderloop.co/wp-content/uploads/2024/06/ReKAP_WONDERSHOT_BOUSSOLE-BEAU-BON-JUSTE.mp4 2023-2024 ©wonderloop Marianne Dekeyser est depuis plus de 20 ans au service du « penser et faire autrement » conférences, workshops stratégiques et formations avec des Comités de Direction et managers.Son constat ? Il faut aller au-delà du penser autrement et faire autrement » si nous voulons créer un monde radicalement positif et enthousiasmant pour tous.Quand tous les imaginaires et les business modèles liés sont à réinventer, Wonderloop© est la méthode stratégique radicalement différente pour réinventer demain sans penser comme hier : de la page blanche jusqu’au business modèle régénérateur. Tous les workshops sont coanimés avec des complices-experts ! Pour plonger dans les wonderloops (conférences imagination stratégique, workshops…), suivez le lapin blanc 🐇  Pour les très curieux 😉 le pitch Wonderloop© complet🪄 Wonderloop© est une méthode de réinvention stratégique pour temps incertains basée sur plus de 20 ans d’accompagnement d’équipes dirigeantes pour les aider à « penser et faire autrement ». Face aux défis majeurs et à l’incertitude radicale, tout est à réinventer : la consommation, le travail, les relations, les solidarités… Se contenter de « penser autrement » en modifiant les modèles connus et établis (d’hier) limite notre capacité à envisager l’avenir et nous ramène à des stratégies de survie à l’avenir, qui créent peu de différence et peu d’enthousiasme. Wonderloop© propose une nouvelle approche radicalement différente de la stratégie pour créer un futur vibrant et vivant cad enthousiasmant et respectueux des Hommes et de la Planète En quoi la méthode Wonderloop© est-elle radicalement différente ? 1.Elle invite à élever nos ambitions au-delà de l’impact pour faire de l’extraordinaire la nouvelle norme.Dans un contexte polarisé et désorienté, le principe le plus puissant pour trouver un nouveau souffle commun et passer des stratégies de survie aux stratégies d’envie, c’est le Merveilleux. Au cœur de la méthode Wonderloop, le Merveilleux agit à la fois comme force de propulsion stratégique et comme puissant catalyseur de transformation individuelle et collective. le Merveilleux n’est ni de l’optimisme béat, ni une fuite vers l’imaginaire, ni une simple quête de réenchantement. le Merveilleux va bien au-delà.  Le Merveilleux est doté de 5 pouvoirs magiques et stratégques :1. il nous permet de nous étonner de ce qui ne nous étonnait plus (définition originelle)2. il transforme les impossibles en possibles, 3. il intensifie notre relation au monde et aux autres, 4. il insuffle de l’énergie et de l’enthousiasme dans les équipes, 5. Il et érige l’extraordinaire en norme pour apporter des réponses à la hauteur des défis actuels.Paradoxalement, la presse économique nous parle tous les jours du Merveilleux avec les licornes à impact, l’animal emblématique du Merveilleux,  qui conjuguent ambition démesurée pour la planète et croissance vertueuse. Nous admirons leurs trajectoires exceptionnelles, il est grand temps

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Beau travail !

Beau travail ! Réinventer 3 juillet 2023 #Réinventer #Travail #SENS #pertinence #résonance Pour cette troisième carte stratégique estivale, nous nous demandons comment redonner du sens au travail et c’est l’opportunité de parler de deux livres récents et de découvrir la boussole stratégique de Wonderloop©  Le programme en trois étapes : 1/ Le Beau ou l’intelligence sensible pour sauver le sens dans les organisations ? 2/Les trois critères de Coutrot et Perez où le Beau est intégré dans l’Utile et l’Ethique 3/Les 4 métavaleurs de Wonderloop© pour réinventer le travail  en Beau, Bon, Juste et Utile 1/ Le Beau, ou l’intelligence sensible, pour sauver le sens dans les organisations ? Beau travail c’est peut-être ce que votre manager vous dira avant de partir en vacances pour vous signifier sa reconnaissance du travail bien fait. Ce « jugement de beauté » comme l’appelle le psychanalyste Christophe Dejours, spécialisé dans la psychodynamique du travail, nourrit la fierté du travail bien fait et la reconnaissance de la qualité de travail : « Le jugement de beauté porte sur la conformité du travail accompli avec les règles de l’art et les règles de métier. Il ne peut être proféré que par des gens qui connaissent le métier comme celui-là dont le travail est soumis à l’épreuve de jugement : le jugement de beauté est porté par les pairs et il s’énonce dans le lexique de la beauté : beau travail, jolie façon, bel ouvrage, démonstration élégante, etc. Le jugement des pairs est à la fois le plus précis, le plus subtil, le plus sévère et le plus précieux. Au-delà de l’épreuve de beauté référant à la conformité, il y a un deuxième volet du jugement qui peut parfois être formulé, mais il suppose que préalablement le travail à évaluer ait bénéficié d’un jugement de conformité satisfaisant. Ce deuxième volet du jugement porte sur le  « style » du travail qui confère à son auteur l’originalité par rapport à ses collègues. Christophe Dejours : « La psychodynamique du travail face à l’évaluation : de la critique à la proposition – 2011 » Ce jugement d’appréciation constitue un facteur essentiel du sens au travail car il a un impact majeur sur l’identité, continue Dejours :« En effet, lorsqu’un travailleur bénéficie du jugement de beauté proféré par les pairs, il devient, de droit ou de fait, membre d’une communauté d’appartenance, d’une équipe, d’un collectif de travail, voire d’un métier. C’est un « vrai » artisan-menuisier, c’est un « vrai » pilote de chasse, c’est un « vrai » chercheur reconnu par la communauté des chercheurs, c’est un « vrai » vigneron reconnu par les autres vignerons et, lorsqu’il bénéficie, de surcroît, du jugement d’originalité, il obtient la reconnaissance d’une distinction par rapport aux autres, donnée précisément par les autres. » Le Beau serait gage de vrai, vraie expertise, vrai savoir-faire, vrai travailleur. Ce lien « englobant » du Beau s’inspire directement de la définition donnée par Platon dans la longue histoire de l’éthique des vertus : « le beau est associé au vrai et au bien comme une des idées les plus élevées ».  Ce regard « englobant » de l’esthétique sur les organisations et leur fonctionnement n’est pas nouveau d’Antonio Strati, en passant par Steven de Groot ou des philosophes comme Simone Weil ; le sujet alimente toujours de nombreuses recherches. Même Maslow (évoqué la semaine passée) l’avait envisagé dans sa théorie des besoins mais cette dimension a été un peu oubliée avec le temps comme le rappelle la revue Gestion. L’article reprend en effet certaines recherches de la psychothérapeute Hazel Skelsey publiées en 2014 dans British Psychological Society « Maslow’s Hierarchy of Needs – the sixth level » :« Au-delà des besoins physiologiques, de sécurité, d’appartenance, d’estime et de réalisation de soi, Maslow aborde deux autres catégories de besoins. D’abord le désir d’apprendre et de comprendre, qui se caractérise par un besoin de liberté d’enquête et d’expression. Un peu plus tard, il ajoutera le désir esthétique, par la recherche de beauté, de créativité, d’harmonie, etc. Il est remarquable que dès le milieu du XXe Maslow ait identifié ces besoins dans le milieu du travail[…] Ces deux étages sont d’utilité publique ! Ils vont vous permettre de justifier l’importance de l’apprentissage, ou de la qualité du cadre de travail pour des usagers… qu’ils soient des employés ou des clients. » Qu’on l’aborde sous le prisme de l’esthétique, de l’harmonie, comme source d’inspiration ou de stimulant, le Beau dans le travail est un facteur-clé pour trouver du sens en renforçant notre satisfaction personnelle et notre sentiment d’accomplissement, alors pourquoi le Beau est-il absent de la grande majorité des réflexions stratégiques ? C’est la croisade de Jean-Philippe Bouilloud qu’il détaille dans son  dernier livre Pouvoir faire un beau travail. Une revendication professionnelle, Erès – mars 2023. L’auteur invite les entreprises à se saisir du sujet de la beauté : « La préoccupation esthétique doit aussi être un impératif éthique (ce que Paul Audi appelle également « esth’éthique »), une catégorie morale pleinement reconnue, car elle concerne chacun dans l’univers du travail. »  Le Beau est pour Jean-Philippe Bouilloud « un droit moral » et l’auteur s’emploie à comprendre comment les catégories de l’esthétique se déploient dans notre rapport à nos activités, comment s’établissent nos conceptions esthétiques du travail ou des « jugements de beauté ». Pour mieux comprendre l’impact du Beau sur le sens, Bouilloud nous fait passer de l’autre côté du miroir pour regarder son incarnation : le geste ou le beau geste au cœur de notre pratique professionnelle. Il met ainsi l’emphase sur le monde de l’artisan, lieu par excellence du Beau geste. Son analyse rentre pleinement en résonance avec ce que Matthew B. Crawford dans « Éloge du carburateur : Essai sur le sens et la valeur du travail (2016) » avait déjà exploré en soulignant l’importance du geste comme épanouissement personnel et compréhension du monde. « Un ébéniste qui caresse une pièce de bois pour en apprécier le fini et la régularité du grain ; une infirmière qui regarde avec contentement le plateau où elle a disposé dans l’ordre les instruments qui seront nécessaires au chirurgien ; un maçon de campagne qui cherche à «

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